Le calame des lutins, des elfes et des fées

Le calame des lutins, des elfes et des fées

... Viens ...

 

 

Viens, ô mon aimée, viens !



Viens sur le chemin de la tendresse,

Viens sur le chemin de la confiance,

Viens sur le chemin de nos amours.



Viens, ô mon aimée, viens !



Viens sans cesse apaiser ta détresse,

Viens puiser l’eau pure de la patience,

Viens vers ta destinée, sans détours.



Viens, ô mon aimée, viens !



Viens comme vient au monde l’enfant,

Viens comme vient l’enfant à marcher,

Viens donner ta main à la tendresse.



Viens, ô mon aimée, viens !



Viens boire à cette source limpide,

Viens boire à cette douce lumière,

Viens boire à cette fraîche musique.



Viens, ô mon aimée, viens !



Viens comme nos deux corps l’un vers l’autre,

Viens comme nos deux corps l’un en l’autre,

Viens te fondre dans notre tendresse.



Viens, ô mon aimée, viens !



Viens te fondre dans notre tendresse,

Viens – oui – viens te fondre dans l’amour,

Viens te fondre dans l’éternité !



Viens, ô mon aimée, viens !

 

 

 

Michel de la Tharonne, le 3 septembre 2003



24/03/2020
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